"N’oublier jamais" à l’étranger

N'oublier jamais Allemagne
N'oublier jamais Allemagne

Paru aux éditions Presses de la Cité en 2014, N’oublier jamais a été traduit dans 12 pays : Allemagne (Aufbau), Espagne (Penguin Random House), Lituanie (Alma), Russie (Veche), Corée du Sud (Sweet Books), Pologne (Swiat Ksiazki), Italie (E/O), Royaume-Uni (Orion Publishing Group Ltd), Chine (China south booky), République tchèque (Albatros), Slovaquie (Albatros), Liban (Centre culturel arabe).

 

  • "N'oublier jamais" en Russie
    Couverture Russie
    – Veche –
    2017
     
  • "N'oublier jamais" en Italie
    Couverture Italie
    – E/O –
    2017
     
  • "N'oublier jamais" en Lituanie
    Couverture Lituanie
    – Alma –
     
     
  • "N'oublier jamais" en Pologne
    Couverture Pologne
    – Swiat Ksiazki –
     
     
  • "N'oublier jamais" en Corée du Sud
    Couverture Corée du Sud
    – Sweet Books –
    2017
     
  • N'oublier jamais Allemagne
    Couverture Allemagne
    – Aufbau –
    2015
     
  • N'oublier jamais Espagne
    Couverture Espagne
    – Penguin Random House –
    2016
     

 

Qu’en dit la presse étrangère ?

Michel Bussi pense qu’il n’y a pas de révolution du genre en France. Variété des thèmes et diversité des styles sont là ! Pour lui, les auteurs de romans policiers se distinguent en revanche des écrivains nordiques par un certain esprit français : une écriture plus volontiers littéraire, voire teintée de poésie, et qui n’est pas seulement dédiée à l’efficacité de la narration, des histoires plus sophistiquées, l’intégration de certains codes propres aux Américains (chapitres courts, de l’action, du sexe). Pas de personnages récurrents chez Michel Bussi, c’est ce en quoi il se démarque.

« J’aime que mon lecteur ne sache pas à quoi s’attendre quand il ouvre le livre. Les romans d’Agatha Christie que je préfère sont ceux d’où Poirot est absent, ils sont bien plus déstabilisants. »

El Periódico de Catalunya

 

« Dans le suspense à la française, on trouve davantage de fantaisie, une touche de poésie, de l’irrationnel, un lien entre le social et le fantastique, comme chez Fred Vargas, Bertrand Minier et Pierre Lemaitre. »

Bussi a toujours aimé ce genre, et cite son faible pour Hitchcock, et notamment Vertigo. Pour lui il n’y  pas de fossé entre son premier roman, Code Lupin, et le dernier, Maman a tort. Le défi pour un écrivain comme lui qui n’a pas de héros récurrent est qu’il lui faut, à chaque nouveau livre, défricher de nouveaux champs d’exploration, de nouveaux mondes.

EFE