Est-ce que le succès de After the Crash (Un avion sans elle) est particulièrement important, pour une première traduction d’un auteur français ?
Absolument. C’est un succès important pour un premier livre, qu’il soit ou non une traduction.
Qu’est-ce qui fait la particularité d’un auteur comme Michel ?
Tout d’abord c’est sa formidable manière de tisser ses intrigues, en nous surprenant continuellement, avec des coups de théâtre, des retournements de situation qui font que l’on est accroché au récit jusqu’à la dernière page. Et puis il a une grande habileté pour nous décrire les lieux – un critique soulignait à juste titre que dans chaque roman de Michel on allait à la découverte de lieux et l’on apprenait beaucoup de choses…
Tous les romans de Michel se situent en France, et d’une certaine manière décrivent la société française. Est-ce que cela intervient dans le succès qu’il rencontre ?
Je crois que le succès tient avant tout à la force de l’intrigue qui agrippe le lecteur et qui enflamme son imagination – mais cet univers français donne une saveur, et une couleur qui le distinguent.
Michel est déjà venu deux fois en Angleterre pour les lancements et revient cet été au festival d’Edimbourg, est-ce courant pour un auteur français ?
C’est assez rare en fait, c’est le fruit du succès, de la reconnaissance des lecteurs qui ont aimé ses romans.
Allez-vous publier prochainement un nouveau roman ?
Bien sûr ! Nous sommes en train de traduire Le temps est assassin qui paraîtra en grand format l’année prochaine, en même temps que la version poche de Ne lâche pas ma main ! Deux romans formidables !
Que dit la presse britannique
After the Crash
« Bussi casse tous les codes dans ce livre, néanmoins je ne suis pas sûr d’avoir lu un roman policier aussi brillant cette année » Joan Smith, The Sunday Times
Black Water Lilies
« Bussi brosse le tableau fascinant d’une communauté si refermée sur elle-même que l’enquête bute et peine à y pénétrer. Un roman qui doit à sa fin percutante d’être l’un des plus époustouflants polars contemporains ! » Joan Smith, The Sunday Times
Don’t let go
« Ce que tous les livres de Michel Bussi ont en commun, c’est cette mécanique implacable dans laquelle sont constamment présents les repères d’années, de jours et d’heures, et un coup de théâtre génial pour conclure ! » The Times