En quatre escales, Montréal, San Diego, Barcelone et Jakarta, l’auteur nous prouve que les plus belles histoires ne meurent jamais. Comme pour Nathalie, hôtesse de l’air, qui, entre passé et présent, va revivre les moments forts d’une intense passion…
Pour l’occasion, nous avons demandé à Michel Bussi de nous parler des histoires d’amour les plus mythiques du cinéma et de la littérature.
- Quels sont vos couples préférés au cinéma ?
Francesca et Robert dans Sur la route de Madison,
Laura et Alec dans Quand Harry rencontre Sally, quand ils se rencontrent…
Juliet et Mark dans Love Actually,
Paulette et Michel dans Jeux Interdits,
Et bien entendu Garance et Baptiste dans Les Enfants du paradis.
- Et dans la littérature ?
Colin et Chloé dans L’Ecume des jours,
Eléa et Païkan dans La Nuit des temps,
Ben et Fontaine dans Pas de temps à perdre,
Hector et Andromaque dans L’Iliade
Jack et Miss Acacia dans La Mécanique du cœur
Tomas et Tereza dans LInsoutenable Légèreté de l’être de Kundera
- Quelle est, selon vous, la plus jolie preuve d’amour à offrir à l’autre ?
Je dis dans Maman a tort : « Quelqu’un que l’on aime, que l’on aime vraiment, il faut parfois oser le laisser partir loin. Ou savoir l’attendre longtemps. C’est une vraie preuve d’amour, la seule, peut-être. »
- Quel film vous a inspiré pour l'histoire de Nathalie, l'héroïne de votre nouveau roman J'ai dû rêver trop fort ?
Ce qui m’a inspiré entre autres c’est un film très romantique : Brève rencontre de David Lean - le couple ne va pas s’enfuir, ils vont renoncer à la passion et choisir leur famille. Je suis également parti de ces coïncidences qui font que parfois on va « lire » dans la réalité qui nous entoure des signes qui réveillent une histoire à nous, qui nous importe. Cela crée le suspense romanesque, donne la couleur plus polar. Le pari était de lier une vraie histoire d’amour et un suspense. D’avoir une dimension de mystère avec une couleur romantique, et proche de « mon » univers.